Nous avons vu que le documentaire était un genre cinématographique à part entière, qu'on pouvait le distinguer du reportage car la subjectivité y est affirmée, et qu'il n'avait pas pour seule fonction d'informer. Nous avons aussi vu que le documentaire se distinguait de la fiction par sa volonté d'être au plus proche du réel et de ne pas avoir recours à des acteurs.
Une sélection d'extrait nous a permis de distinguer différentes formes de documentaires :
- 93 La belle rebelle, de Jean-Pierre Thorn (l'entretien filmé)
- The Big One, de Michael Moore (l'enquête)
- Être et Avoir, de Nicolas Philibert (le cinéma direct)
- La Vida Loca, de Christian Poveda et Armadillo, de Janus Metz (le recours à la mise en scène et le docu-fiction)
Les participants de l'atelier ont réagi aux extraits visionnés.
Ensuite, nous avons abordé le jargon cinématographique (plan, séquences, hors champ, champ/contre-champ,...) en analysant des extraits de films, les règles de composition du cadre et le rôle de la lumière dans l'image.
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